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KARATE DO SHOTOKAI EUROPE LE COUDRAY

20 août 2016

Le Fondateur de l'Ecole SHOTOKAI

  

  Logo Maître Egami EGAMI       tag1                                          

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Envie d’essayer !!!!, alors n’hésitez pas…. Venez nous voir, venez découvrir les arts martiaux.

A très bientôt…..

 

 

Dernière édition 23 Août 2022 administrateur patrick.borde

 

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CONTACTS

 


 

 

 

                

 PATRICK

Professeur diplomé Instructeur Fédéral : Patrick BORDE

3ème DAN FEKAMT                                                   

Mail :  pa.borde28@hotmail.fr                                                      

Tél : 06.81.01.43.67. 

 

 

 

 LAURETTE

1ère Assistante :   LE MINOUX Laurette    ( * )

1ER DAN CLUB

Mail :  leminoux.lolo@hotmail.fr

Tél : 06.99.18.01.06.

 ( * ) Professeur  enfant :   

 

 

 

NOUR__3_

1er Assistant Educateur diplomé Fédéral  EL BARKANI Noureddine     ( * )

1ER KYU 

       

Tél : 06.71.96.49.38  -  06.31.16.01.27   -  09.50.52.70.01

( * ) Professeur  enfant : 

 

 

 

ENTRAINEMENTS

 

 

 

REPRISE DES COURS le mercredi   07 Septembre 2022

Adultes : Mercredi de 19h 30 à 21h 30

                Vendredi de 19h 30 à 21h 30

 

 

REPRISE DES COURS le vendredi 09 Septembre 2022

Enfants :  Vendredi de 18h 30 à 19h 30

  

                                                      

 

 Lieu : Salle Polyvalente du Coudray

           Espace Gérard Phillipe (Salle Mezzanine - Etage)

           Rue de la Vielle Eglise

           28630 LE COUDRAY

 

 

 

 

SECRETARIAT RENSEIGNEMENTS :  

Mme LE MINOUX Laurette

Tél : 06.99.18.01.06

 

 

FORUM DES ASSOCIATIONS : 

Le Dimanche   04 Septembre 2022 de 10h 00 à 18h 00

 

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fig 1

ORIGINE DU KARATE 1

 


 

La création des bases (Corps et Esprit) de cet art martial eut lieu en Inde. Quelques milliers d'années nous séparent de cette époque. En effet, le karaté est le plus ancien des Arts Martiaux. Cette discipline fut introduite en Chine par un moine indien dénommé : BODDHIDARMA, au temple SHORIN. Plusieurs adeptes de cet enseignement partirent pour l'île d'OKINAWA. Au cours de leur séjour, les entraînements réputés secrets auxquels ils se livrèrent ont transformé peu à peu le karaté Chinois en Okinawa-Té, qui se révéla plus efficace, plus élaboré.

En 1853, un important fait transforma l'image de la pratique des arts martiaux traditionnels : l'apparition des armes à feu que le Japon découvrit avec l'expédition américaine Perry. Le déclin de certaines valeurs sociales qui avait été amorcé au XVIIème siècle fut accéléré par cette découverte qui fut suivie de près par l'unification du Japon à la période de restauration Meiji, en 1868, alors que le système féodal fut aboli pour faire place à une société nouvelle avec l'ère Tokugawa (1868-1912). Ces événements marquèrent la disparition du pouvoir militaire shogunal et la fin de l'isolationnisme du Japon.
Gichin Funakoshi naquit cette même année à Shuri comme unique enfant d'une famille modeste et, en 1879, Okinawa était incorporée comme préfecture japonaise à l'empire de Mutso Hito.

L'enseignement et la pratique du karaté restèrent secrets jusqu'en 1900 où l'Okinawa-te ou Tode devint le style le plus systématisé. Le voile fut levé en 1902 quand un commissaire de l'Éducation de la Préfecture de Kagoshima, Shintaro Ogawa, recommanda d'inclure le karaté dans le programme scolaire d'éducation physique de certaines écoles de Shuri. L'Okinawa-te, qui ne s'appelait toujours pas Karaté, fut alors enseigné ouvertement, essentiellement comme méthode d'éducation physique. De cette époque, nous sont parvenus les noms de deux maîtres qui allaient devenir les chefs de file des principales écoles actuelles : ANKOH ITOSU enseignait une méthode basée sur les techniques longues, les déplacements rapides et légers (Shorin), tandis que KANRYO HIGAONNA donnait la préférence à un style basé sur des techniques de force, en contraction, et sur des déplacements courts surtout efficaces pour le combat à faible distance (Shorei). Ces deux maîtres instruisirent des hommes qui, un peu plus tard, révélèrent leurs techniques martiales au Japon.

C'est GICHIN FUNAKOSHI, considéré comme le père du karaté moderne, qui en 1906 avec ses collègues fit la première démonstration publique à Okinawa. De plus, en 1922, il fit connaître au Japon l'existence du karaté lors d'une fête sportive (First National Athletic Exhibition) qui eut lieu à Tokyo sous les auspices du Ministère de l'Éducation. Les Japonais ne connaissaient, à cette époque, que le Jiu-Jitsu, une méthode dont le Judo tire sa source, et certaines formes de self-défense venues au Japon au XIIèmesiècle avec le bouddhisme Zen (Shorinji Kempo). Ils se mirent à l'étude de cette méthode de combat encore inconnue et si efficace, sous la direction de Maître FUNAKOSHI.

 

 

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Ichi

 

ORIGINE DU KARATE 2

 


 C'est alors seulement, que ce dernier coupa le lien avec l'origine chinoise et okinawaienne de son art et l'appela KARATE (main vide en japonais). Mais tandis que certains instructeurs continuaient à enseigner à Okinawa une forme plus traditionnelle et plus proche de l'Okinawa-te, d'autres voyant le succès de FUNAKOSHI passèrent au Japon et y apportèrent leur technique ; quoique celle-ci fut à chaque fois légèrement différente, ils l'appelèrent tous karaté en raison de la publicité dont cette désignation bénéficiait déjà. Lors d'une démonstration à Tokyo, JIGORO KANO, fondateur du JUDO demanda à Maître FUNAKOSHI d'enseigner son art à ses élèves. Ce dernier restera au Japon jusqu'à sa mort en 1957 à l'âge de 89 ans.

 

                                                       << Le père du karaté Moderne >>                            

Maître Funakoshi funakoshi01

 

Il a dit :

« Vous pouvez vous entraîner longtemps, très longtemps mais si vous vous contentez de bouger vos mains et pieds, de sauter et de fléchir comme une marionnette il n'y aurait pas beaucoup de différence entre votre KARATE et la danse. Vous n'atteindrez jamais l'essentiel, vous n'aurez pas réussi à saisir la quintessence du KARATE-DÔ. L'art demande une discipline aussi rigoureuse que la vie, lutte quotidienne pour la survie, ne pas miser sur une seconde chance est la condition du succès ».

Parmi ses élèves les plus connus figurent : Sensei

EGAMI, HARADA, MAKOTO GIMMA, OSHIMA, HISHIYAMA, MASATOSHI NAKAYAMA, sans oublier son fils GIGO FUNAKOSHI.

 

*

 


 

  

SHOTOKAI STORY

 


 

 

 

 

 

Techniquement, le SHOTOKAI est un style qui est certainement le plus fin de tous. Contrairement aux autres, il trouve son efficacité dans le relachement et la détente. C'est ce qui génère sa force. La souplesse du corps et de l'esprit y est permanente et constante. L'harmonie et l'échange en sont les centres d'intérêt.                    

La compétition bien sur n'y a aucune place car elle va à l'encontre de nos valeurs, de nos recherches, puisqu'elle véhicule l'individualisme, le développement de l'égo et elle dénature l'art. Le Karaté et la compétition n'étaient pas conciliables pour le maître FUNAKOSHI. Pour sa succession, il nomma maître SHIGERU EGAMI. Né en 1912, il découvrit le KARATE DO (la voie) à l'université WASEDA (JAPON). Une année après la mort du maître FUNAKOSHI, il devint le chef instructeur de l'association SHOTOKAI avec maître HIRONISHI comme président.

  

Maître Egami egami2 

SHIGERU EGAMI créa cette nouvelle technique entièrement fondée sur la souplesse. Elle est devenue la caractéristique technique du Shotokaï, style aux mouvements amples et relâchés. Ces mouvements fluides et harmonieux ont fait un style particulièrement esthétique. Il rendit les enchainements fluides dans les katas, et enseigna le sen -no- sen (anticipation en avançant sur les attaques) .

Il avait établi trois principes à la base de son style.

La Souplesse :

Il faut assouplir le corps afin d'éviter les tensions inutiles. Il s'agit aussi d'un état d'esprit qui insiste sur la faculté de l'anticipation et d'adaptation. Il préconisait les Taï-Sabaki (esquives du corps) plutôt que les blocages frontaux.

 

La Vitesse :

Un corps et un esprit souples réagissent plus vite lorsqu'ils ne sont pas parasités par des crispations. Cela permet de surprendre l'adversaire qui ne décèle aucune tension et ne peut donc pas anticiper l'attaque.

 

La Concentration :

Il s'agit de concentrer la force en un seul point et en un seul instant pour un résultat foudroyant. Les adeptes du Shotokai insistent sur des techniques redoutables, interdites en compétitions car elles sont appliquées sur des points vitaux comme les yeux, la gorge ou le bas ventre.

 

Il a dit :

<< Si le corps est limité, l'esprit lui peut aller plus loin >>.

  


  

Maître Tetsuji MURAKAMI est né à Shiozuka en 1927. Il étudie le KENDO puis le KARATE sous l'égide de Maître YAMAGUSHI. Arrivé à Paris en 1957 sous la demande des instances françaises, il a été le premier professeur de karaté SHOTOKAN en FRANCE. Lors d'un retour au JAPON, il découvre le SHOTOKAI auprès de maître EGAMI, et change radicalement sa pratique et se tourne résolument dans cette voie. De retour en FRANCE, il devient à la demande de Maître EGAMI, le délégué officiel de l'Ecole SHOTOKAI en EUROPE, en AFRIQUE du NORD, AFRIQUE NOIRE, et même aux ETATS UNIS.

Maître Murakami  murakami

  


 

Maître Tetsuji MURAKAMI enseignait dans l'esprit des arts martiaux et non comme un sport. Il exigeait une rigueur d'esprit, une rigueur de travail, une volonté de repousser toujours plus loin la résistance physique, un effort constant pour améliorer et parfaire une technique.

Petites Anecdotes d'un Elève de Mercoeur :

Henry PLEE avait demandé à la Fédération japonaise de karaté d’envoyer un expert en France pour développer cet art martial. C’est ainsi que Maître MURAKAMI a débarqué à Paris en 1957 et a été le premier professeur de karaté, méthode shotokan, en France. Il était à cette période ceinture noire 2è dan de combat. Il faut noter que dans l’enseignement japonais de l’époque, il fallait être ceinture noire et avoir acquis une solide base technique avant de pouvoir faire des combats.

La légende dit que Maître MURAKAMI a été formé pour être un kamikaze et que la guerre s'est arrêtée avant qu'il ne monte dans un avion. Pour ceux qui l'ont connu et approché durant les années 1960-1970, on serait tenté de croire à cette légende tant l'esprit japonais habitait le Maître.

Pour comprendre le Maître, il faut savoir qu'il se considérait avant tout comme un Japonais, qu'il pensait comme un Japonais, qu'il vivait comme un Japonais, qu'il enseignait son art comme un Japonais, qu'il réagissait comme un Japonais et ce conformément aux règles d'honneur, de respect de la hiérarchie qui régissaient la société japonaise. Le Maître était envoyé par le Japon pour développer le Karaté en France, il devait rendre compte de son travail aux responsables japonais et à personne d'autre. C'est l'une des raisons pour lesquelles pendant de nombreuses années, l'école du Maître n'a pas été reconnue par la Fédération Française de Karaté.

Il a donc appliqué à ses élèves la méthode d'enseignement qu'il avait lui-même reçu. C'est pourquoi quelques élèves n'ont pas compris et / ou mal supporté son enseignement et son côté "brutal". Le problème, c'est que les élèves européens ne sont pas habitués à être réprimandés, voire à recevoir des claques lorsqu'ils n'exécutent pas correctement une technique. Dans l'enseignement japonais, le professeur montre une technique et explique peu la manière d'y arriver. C'est à l'élève d'apprendre à regarder, de travailler et de trouver la solution. Dans l'enseignement français, c'est différent ; le professeur montre, explique une technique et revient autant de fois que nécessaire pour la bonne compréhension des élèves. Il est arrivé que des élèves demandent au professeur "pourquoi on ne fait pas comme ceci plutôt que de faire comme ça". Aucun élève du Maître n'aurait osé lui faire ce genre de remarque.

Une autre des raisons de non compréhension entre certains élèves et le Maître est la nature même de la pratique. En effet, le Maître enseignait un art martial et non pas un sport. Il exigeait une rigueur d'esprit, une rigueur de travail, une volonté de repousser toujours plus loin la résistance physique, un effort constant pour améliorer et parfaire une technique. Il n'acceptait pas que l'on travaille "comme un fonctionnaire" durant ses cours. A titre d'exemple, au cours d'une séance d'entrainement, nous étions en train de faire des kions, et j'ai reçu comme punition de faire 10 fois le tour de la salle en sauts de canard. Je n'ai jamais su et je n'ai toujours pas compris la raison de cette punition ; peut-être me suis-je légèrement relevé durant les kions et que cela lui a déplu.

J'ai eu la chance de connaître le Maître et de pouvoir faire la différence entre un vrai Maître et un professeur ou tout autre personne prétendument appelée Maître. Je pourrais citer plusieurs exemples justifiant ces propos mais je me contenterai de la plus importante. J 'ai commencé la pratique du Karaté avec l'assistant du Maître de l'époque, Michel HSU, et ce pendant trois ans. Le niveau technique du professeur était très élevé et nous bénéficions bien entendu d'un enseignement de grande qualité. Cela se voyait surtout à l'occasion de rencontres avec d'autres clubs de karaté pratiquant un style différent. Nous étions souvent plus forts techniquement bien qu'ayant des ceintures inférieures à nos adversaires. Lorsque j'ai obtenu ma ceinture marron, je devais intégrer l'école du Maître car c'était la règle. Ce fut la révélation. Mon premier cours chez le Maître reste gravé dans ma mémoire. Au bout de 30 minutes d'entrainement, le Maître avait remarqué et noté toutes mes erreurs de techniques et de positions. Il m'avait "pris en main", il redressait une position de bassin par ici, puis la position de la main par là, puis le pied et ainsi de suite pour toutes les techniques abordées ce jour là. C'est à ce moment que j'ai constaté l'immense différence de niveau technique entre le Maître et son assistant, bien que Michel HSU fût d'un excellent niveau. Les cours de Michel HSU étaient difficiles et épuisants physiquement mais ce n'était rien en comparaison des cours du Maître. Pour répondre à ceux qui n'ont pas apprécié de recevoir des claques de la part du Maître ou de le voir constamment derriere eux, je dirais que ces personnes n'ont pas eu l'intelligence de percevoir la qualité de son enseignement et lorsqu'il se penchait sur le cas d'un élève, c'est parce que cet élève ne travaillait pas comme il le souhaitait. La devise du Maître était "mes élèves doivent être les meilleurs lorsqu'ils sont confrontés à d'autres écoles ".

Le Maître prenait un soin particulier à donner le meilleur enseignement possible, d'où son intransigeance, son exigence car l'élève représente l'école, l'école représente le Maître et ainsi de suite. Il espérait pouvoir montrer à ses propres Maîtres, au Japon, la qualité de son travail par le biais de la qualité technique de ses élèves.

Le Maître recherchait toujours la meilleure technique, c'est la raison pour laquelle il passa du style Shotokan au style Shotokai. Il faut lui reconnaître un certain courage pour se remettre en question après plusieurs années de pratique dans un style de karaté où il excellait. Mais il trouvait que le style Shotokai correspondait plus à la réalité. Au début, le style Shotokai n'était pas très éloigné du style Shotokan, et le Maître a peu à peu peaufiné sa technique pour la rendre telle que nous la connaissons aujourd'hui et foncièrement différente du style Shotokan.

J'écris plus haut que l'école n'était pas reconnue par la Fédération Française de Karaté. En effet, le Maître n'a jamais oeuvré pour sa publicité ou pour la reconnaissance de son enseignement par la Fédération. Il ne souhaitait pas se plier aux exigences administratives pour le passage de la ceinture noire et des Dans. Le problème s'est posé lorsque certains élèves désiraient ouvrir des clubs et enseigner le Karaté. Les anciens élèves du Maître l'ont convaincu de changer et se sont arrangés pour qu'il ne soit pas ennuyé par les formalités de passage de grades. Je peux même affirmer que dans les années 1970, le Maître était reconnu, respecté et apprécié par les officiels de la Fédération tant pour la qualité de son enseignement que la qualité des élèves qui se présentaient à la ceinture noire. Dès son arrivée en France, les anciens élèves ont toujours joué un rôle important dans la vie du Maître et de son école. Il y a les anciens des années 1958 / 1970 et les anciens des années 1980 et après et c'est volontairement que je ne fais pas de différence car ils ont tous contribué, à un moment ou à un autre, à aider le Maître et le Karaté Shotokai.

Le Maître est donc arrivé en 1957 chez Henry PLEE pour développer le karaté en France et il enseignait au Dojo rue de la Montagne Ste Geneviève. Leur collaboration a duré peu de temps pour maintes raisons qu'il est inutile de revenir ici. Sauf erreur de ma part, le premier club du Maître était à la Cité Universitaire de Paris, puis vint celui de Mercoeur. Et déjà les élèves de l'époque ont aidé le Maître. En effet, au moment de la séparation avec Henry PLEE, le Maître s'est retrouvé dans une situation sociale difficile et précaire et il ne souhaitait pas retourner au Japon. Ils ont donc fondé l'Association MURAKAMI KAI et ont donné au Maître le statut de professeur d'arts martiaux. Le Maître avait ainsi une fonction rémunérée et une couverture sociale lui permettant ainsi de développer le karaté en France. Le Maître était aussi à un certain moment le représentant officiel du karaté Shotokai en Europe et avait principalement des clubs en Espagne, France, Italie, Portugal, Suisse.

Les élèves qui ont connu les cours du Maître disaient généralement " c'est bien avant et après, jamais pendant le cours ". On ne savait jamais comment le cours allait se dérouler.

Le Maître n'était pas un surhomme et n'était pas parfait, il avait aussi des défauts et un caractère entier, mais ceux qui l'ont apprécié, lui rendent encore hommage aujourd'hui pour la qualité de son enseignement.

Nous ne possédons pas de film et avons très peu de photos du Maître démontrant une technique car il détestait cela. Sur certaines photos du Site Internet Shotokai Europe, vous remarquerez que le Maître a les yeux fermés, en fait il  travaillait souvent les yeux fermés pour développer son irimi (anticipation).

 Copyright Christian Bert, Dojo Mercoeur, Paris France

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VIDEOS

Stage de Belleville sur Saône 2014 :  

Stage Karaté 2014 Belleville Partie 1

Stage Karaté 2016 Dombasle 

Karaté Do Shotokaï - Dominique PIERRE & Alain HAGOPIAN - FEKAMT & Tradition Martiale Dombasle


 

 

 

LIENS

 


 

 

 

CLUBS

 

KARATE SHOTOKAI MARSEILLE                           Site : http://shotokai.marseille.free.fr

TRADITION MARTIALE DOMBASLE                             Site : https://traditionmartiale.com/ 

BLOG SHOTOKAI MARSEILLE                                      Site : http://shotokai.marseille.over-blog.com/

BLOG KENDO MARSEILLE                                            Site : http://www.fudokan-marseille.com

 

 

FEDERATION

FEKAMT                                                                       Site : http://www.fekamt.com

 

 

KARATE DO SHOTOKAI EUROPE

KDSE                                                                           Site : http://www.shotokaieurope.org

 

 

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